Labyrinthe d’eaux et d’îles, la Brière ( dans la presqu’île de Guérande tout près de La Baule) est le deuxième marécage de France (après la Camargue). Avec près de 40000 hectares de tourbières, d’étangs, de canaux le Parc Naturel Régional abrite sous ses roseaux, une faune exceptionnelle. A pieds vous découvrirez les villages brièrons "touristiques" (la Brière appartient depuis le XVe siècle, en indivision, à 21 communes sur 17000hectares ) de Saint-Malo-de-Guersac (maison de l’éclusier), de l’île de Fedrun, ou celui restauré de Kerhinet. Hors des circuits "battus" (!) flâner dans les hameaux de Pentille, Camerun, Mayun… Toutefois, c’est en plate "chaland" que le parc dévoile un peu de ses secrets. On peut louer ces barques (… avec guide) dans les petits ports : île de Fédrun (Saint-Joachim), Port de Bréca (Saint-Lyphard), Port de la Chaussée Neuve (Saint-André-des-Eaux), Port des Fossés Blancs (La Chapelle-des-Marais), Port des Prises du Coin (Herbignac).
Les chaumières: un objectif majeur du Parc |
Près de 3000 toitures se trouvant sur le territoire du Parc sont en couverture végétale ce qui représente 60% des chaumières françaises.Ce patrimoine a pu être conservé et renouvelé grâce à l’action conjuguée du Parc naturel régional de Brière et des élus locaux, régionaux et communaux qui ont soutenu financièrement la restauration d’un grand nombre de chaumières. Un bilan de la politique d’aide à l’emploi du chaume dans le Parc vient d’être édité. Il a pour objectif de retracer l’action menée depuis la création du Parc, les évolutions constatées et les résultats obtenus. |
La chaumière, avec sa fourrure de roseaux, constitue une composante fondamentale du paysage briéron dans lequel elle s’est ancrée dès le milieu du XVIIème siècle. |
La Brière des îles et la Brière des terres |
L’organisation spatiale de ces habitations est tout aussi typique. Autour, une route circulaire dessert de part et d’autres les habitations. La « levée », prenant également la forme d’un grand rectangle « en lame de parquet », accueille le potager. Au bout de cette « levée », un petit port nommé « chalandière » donne l’accès à la « curée », canal de ceinture bordé d’arbres protégeant les chaumières contre le vent courant sur les marais. Ainsi chacun des îliens a son propre accès privé au marais. A l’ouest, le marais joue un rôle moins important, et l’espace, moins compté, a permis une répartition plus souple des habitations. |
Au gré des chemins et des routes, les chaumières sont regroupées en « archipel » de hameaux. L’habitat s’organise autour de quelques éléments communs : le four, le puits, la mare, souvent accompagnés d’un lavoir empierré. Les activités agricoles sont plus marquées. Traditionnellement, la pièce unique de l’habitation est prolongée par un « creniau », écurie ou une étable et des annexes pour abriter charrettes et matériel agricole. L’ensemble est surmonté de combles, plus volumineux que sur les îles pour accueillir les récoltes et réserves. |
ahhh suis contente, tu as refait un billet, bravo !!!
enfin un peu de soleil, pas trop tot !!!
des bises pour toi et bel après midi !!!!
Enfin un nouveau billet. Ces chaumières sont magnifiques et les photos aussi on a envie de monter en voiture et d\’aller flâner dans ce splendide parc.Amitiés
bon dimanche à toi maurtimer !!!
dis donc tu en as vu et visité des endroits pendant tes vacances !!!
merci pour tous les reportages photos !!! bizzzz !!!!
merci pour les renseignements !!!!
pauv paludiers !!!! pas sous les palétuviers roses !!!!
bonne nuit à toi et panier de bises !!!!
bonsoir !!!
j\’ai entendu à 13 h , la détresse des pêcheurs d\’anchois, espérons qu\’ils vont trouver une solution !!! au moins, ils ne bloquent plus le port de plaisance !!!!
bonne soirée à toi et des bises !!!